Hideyo Yoshida.

Nom : Yoshida
Prénom : Hideyo
Age : 21 ans
Date et lieu de naissance : 9 Mars 1988 à Osaka (Japon)

Histoire ( ou biographie pour les célébrités ): ( 15 lignes minimum )

Il était une fois... Non ! Ma vie n'a rien d'un conte de fée.

J'ai poussé mon premier cri le 9 mars en 1988 dans mon pays de toujours, le Japon, plus précisément à Osaka, au bord de la mer. Sauf que contre toute attente, je ne fus pas seule à pointer le bout de mon nez ce jour-là. Je fus suivie de quelques minutes par ma soeur jumelle, Yuika. Dès notre premier jour de vie, nos différences se sont tout de suite affirmées. Alors qu'elle était calme, sage comme un ange, je braillais et gigotais sans cesse. Comme si rester immobile, clouée dans un landeau à longueur pouvait m'être supportable. Je suis née dans une famille de riches, précisons-le tout de suite, même aristocratique. D'accord, ça m'a apporté pas mal d'avantages, je dois l'avouer. Mais qu'est-ce que ça m'a pris la tête ! Parce qu'il faut savoir ce que j'en subi les contraintes qui s'accordaient avec : politesse, tenue correcte, la danse classique, les bonnes manières et tout le tralala des petites filles sages qui rêvent aux princes charmants. Beurk...

Misérable existence dorée...

Habitant une superbe villa au bord de mer, avec un immense jardin et une piscine, de quoi pouvais-je me plaindre sinon de quelques contraintes qui valaient bien tout ça ? Eh bien c'est simple : je me plaignais de tout. De cet argent sous forme de billets que mes parents vénéraient comme un Dieu, de ma soeur si parfaite à leurs yeux et qui était de loin leur préférée, de tous ces gens travaillant chez moi, contraints de m'appeler « Melle » en permanence et de me vouvoyer, des animaux stupides que je devais supporter pour ne pas faire exception à la définition des aristocrates. Étudier en classe n'a jamais fait partie de mes passe-temps favoris. Qu'y avait-il de passionant à apprendre des équations ou des données numériques ? Très peu pour moi. Cela marquait une nouvelle différence entre Yuika et moi. Elle était brillante et moi une véritable cancre. Je préferais mille fois risquer l'accident du haut d'une falaise que faire mes devoirs. Ce qui me valait les reproches de ma mère qui constatait mes habits sales, parfois troués.

& ta débauche ne leurre qu'un instant ton désespoir caché...

Malheureuse ? Oui, je pense que je l'étais. L'adolescence, c'est toujours une période délicate. Surtout lorsqu'on s'appelle Hideyo Yoshida. Passer ce cap a été comme une délivrance pour moi, une prise d'indépendance incontestable. Fini le masque de la petite fille sage que je devais porter en permanence : je me rebellais. Lassée par cette existence bien trop sage, il ne me fut pas difficile de trouver des gens avec qui sortir faire la folle le soir. Fini la danse classique en tutu rose ! A moi la danse en boîtes. Alcools, drogues... même jusqu'à m'envoyer en l'air avec le premier type que je trouvais craquant. Choquant, je sais mais tellement amusant et délivrant. Ma vie était bien plus attrayante. Forcément cela restait secret aux yeux de mes pauvres parents qui se seraient montrés outrés de mon comportement.

& même ce lien familial n'a pas pu la retenir...

Deux personnes sont concernées par cette phrase. Tout d'abord Yuika qui n'a pas hésité un seul instant à me vendre à nos parents, le lendemain de nos dix-sept ans. Elle n'a omis aucun détail à ma débauche. Ils étaient furieux. Pas autant que moi. Je crois que je ne l'ai jamais haïe autant que cette fois-là. Et puis ce soir-là, il y a eu la gifle de trop. Alors qu'est-ce que j'ai fait ? Je suis montée dans ma chambre, j'ai mon sac et je suis partie de chez pour ne plus jamais y revenir. Sauf que pour mettre au point une dernière vengeance contre mon poison de soeur, j'ai pris un scorpion (que j'avais acheté depuis longtemps allez savoir pourquoi) et je l'ai soigneusement déposé sous sa couette, histoire que je ne la revoie pas de sitôt, voire si ça pouvait l'expédier dans l'au-delà. J'ai longtemps marché dans la rue avant de rendre à une évidence même : je ne survivrais pas seule. Heureusement pour moi, ma grand-mère maternelle m'a toujours soutenue. Sans elle, j'aurais été bien paumée. Elle m'a accueillie les bras grands ouverts. Il y avait tout ce qu'il fallait pour me loger, à croire qu'elle avait prévu mon départ depuis un bout de temps. Pas étonnant quand on sait qu'elle est voyante. Personnellement, je n'ai jamais accordé grande importance à ses "prédictions" mais je suis forcée de reconnaître qu'elle se trompe rarement. Enfin, mon existence prenait un autre tournant.

Nouveau départ, nouvelle vie... mais je ne changerai pas.

Cependant cela n'a pas suffit à stopper mes folies nocturnes. Même si elle s'était rangée de mon côté face à mes parents, Mamie désapprouvait ce comportement, bien qu'elle le comprenait tout à fait. Néanmoins, elle réussit à me faire travailler en classe si bien que mes professeurs en étaient tout retournés et croyaient réellement que j'avais un grand potentiel, que j'avais baclé durant ces dernières années. Et je revenais de loin. Restait juste à trouver ma vocation après avoir passé mon Bac haut la main. Rien de très simple lorsque l'on prend en compte que je hais travailler. Et puis un jour, je me promenais dans Tokyo et rapidement une entreprise a attiré mon regard. La Chiwa's. J'ai appris qu'ils cherchaient du personnel. J'ai tout de suite su que c'était fait pour moi. S'il y avait bien une chose que je savais faire, c'était chanter. C'était la seule chose au monde pour laquelle je savais travailler ardemment. Je maîtrisais également quelques pas de danse. Je me souviens encore de l'espoir qui habitait mon regard à cet instant-là. Alors je n'ai pas réfléchi et j'ai saisi ma chance. Et lorsque j'ai su que c'était ok, j'ai couru comme une folle jusqu'à la maison de grand-mère. Je m'imaginais déjà la fierté qu'elle m'accorderait. Malheureusement, ce ne fut qu'un « qu'elle m'aurait accordée ». On n'est jamais à l'abri d'un infarctus, surtout à quatre-vingt dix ans. Pour la première fois, je fus réellement triste et je la regrettais comme personne. Dur passage à subir mais qui guidait maintenant tous mes gestes : je devais réussir pour rester fidèle à sa mémoire. J'appris avec stupeur qu'elle m'avait tout légué, ne laissant rien à mes parents. Comme j'étais déjà majeure, cela ne posa aucun problème. Ainsi j'ai pu garder son précieux logement et continuer à vivre normalement. Et c'est avec la rage de vaincre que je me rendis à la Chiwa's plus déterminée que jamais.

Caractère :( 10 lignes minimum )

Me qualifier de peste serait me juger sans me connaître, même si ce n'est pas forcément faux par certains côtés. Commençons par les points positifs. Heu, ah oui je suis une grande perfectionniste. Jusqu'à preuve du contraire c'est une qualité non ? Pour moi, c'en est une. Travailler encore toujours plus dur pour parvenir à un résultat qui me convient est une chose automatique et presque naturelle chez moi. La volonté n'est pas ce qui me manque, d'ailleurs je n'ai jamais compris les gens qui n'en avaient pas. Cependant, je ne me permets jamais de critiquer quelqu'un sans le connaître. Très ouverte d'esprit, il ne m'est pas difficile de faire abstraction des préjugés que peut dégager une personne. Donc je pourrais fréquenter quelqu'un qui a une réputation à faire peur. A la fois calme et raisonnable, je connais mes limites... quand cela n'implique pas mon perfectionnisme cité plus haut. Autrement dit, je sais ce qu'il faut faire ou pas. Sauf qu'il m'arrive d'être terriblement imprévisible voire téméraire et un entêtement soudain de ma part peut me jouer bien des tours. Ma force de caractère me dépasse en quelque sorte. La peur, je ne connais pas. En vérité, le danger m'excite plus qu'autre chose. Voilà pourquoi la débauche ne m'effraie pas. De l'alcool aux excès corporels en passant par la drogue, je ne m'arrête pas. Me pousser à bout, savoir que je peux continuer à avancer même avec ces handicaps, voilà ce qui me rend fière. Et ma fierté passe avant tout. Je calcule avant d'agir. Je réfléchis, sans me laisser envahir par mes émotions, ce qui ne veut pas dire que je n'en ai pas. Je suis également très rancunière. En résumé, je peux affirmer que j'ai un sale caractère, assez difficile à comprendre.

Description physique : ( 10 lignes minimum )

Mon physique... un point bien plus positif que mon caractère. Mesurant 1,65 m, je pèse 50 ou 48 kg lorsque je mange moins ou que je fais plus de sport. Le moins que l'on puisse dire c'est que je suis dotée de beaucoup d'atouts qui en font baver plus d'un (et jalouser plus d'une...). D'abord, j'ai une jolie poitrine bien proportionnée. Légèrement cambrée, je possède de jolies fesses rondes et des hanches de rêve. Mes cheveux châtains ondulés lorsque je ne les passe pas au fer à lisser, sont coupés en dégradé et me tombent dans le dos. Mais ils ont une tendance à brunir suivant l'éclairage. Une frange sur le côté tombe au dessus de mes yeux qui sont marrons, comme la plupart des asiatiques. Je les maquille toujours de crayon noir et d'une touche mascara très volumineux grand minimum. Mais la plupart du temps, ils recouverts d'un fin trait d'eye-liner également pour faire ressortir leur aspect mystérieux. Ils sont ce que je préfère chez moi. J'ai une belle peau blanche, sans pour autant être blafarde, qui prend une couleur miel au soleil. Mon style vestimentaire est cadré autour du look lolita et punk. Souvent, je marie les deux. J'ai une tendance à être un peu provocante car je sais choisir les vêtements qu'il faut pour mettre en valeur mon physique avantageux, soit les hauts décolletés et moulants ou les mini-jupes ou ce que je préfère, les jolies petites robes. J'ai un grand faible pour les hauts talons, quelle que soit la saison. Mes ongles longs et fins subissent toujours une séance régulière de manucure et sont toujours vernis selon mes humeurs. Quant à mes lèvres, elles sont toujours rosées d'une touche de gloss.

Relation familiale et amicale :

Mes parents, je faisais semblant de bien m'entendre avec eux par pur intérêt, pour qu'ils m'accordassent plus d'argent de poche. Mais avec leurs grands airs, il me dégoûtaient. Quant à ma soeur jumelle, Yuika, c'est tout mon opposé. Alors je ne lui parlais pas ou sinon très peu, pour les formes de politesse par exemple. Depuis ma fuite, je ne les ai pas revus, je ne sais même pas s'ils sont encore en vie vu le dernier sale tour que je leur ai joué. Et ma grand-mère décédée était probablement le seul être que j'ai jamais aimé et qui m'a jamais aimée.

Des amis ? Je n'en ai pas énormément. En fait je n'en ai que deux : Azami & Eriko qui m'ont toujours soutenue. Elles sont comme mes soeurs et m'aident au quotidien, en m'évitant parfois de commettre de graves erreurs. Elles sont musiciennes et ce sont elles qui m'ont mise sur la voie de la chanson.Ce sont les rares personnes avec qui il m'arrive de sourire tout le temps.

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Qui es-tu ? : Future star

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(Indice > Ne jamais prendre la première chose qu'on vous donne.. )

Heu oui elle est finie ^^
& merci de l'accueil (: